an abstract photo of a curved building with a blue sky in the background

Mon Aura

Ce que tu appelles fragilité, moi j’en fais une force.
Je transforme les fissures en lumière artistique, pour t'aider à voir la tienne.
Je ne répare pas les âmes, je leur tends un miroir
dans le tien, tu verras qu’il y a encore du feu.
Voici, qui je suis ;)

L’intention
Je partage mon art/arme ;) à celles qui vacillent,
pour qu'elles retrouvent leur centre.
Pour que le doute cesse d’être une cage
et devienne un terrain de jeu.
Pour que le feu intérieur recommence à éclairer dans l'obscurité

Je ne veux plus décorer le monde.
Je veux le réparer.

La mue
Architecte d’intérieur depuis 20 ans,
j’ai appris à bâtir des espaces solides dans un monde qui chancelle.
Aujourd’hui, je construis autrement : avec des mots, des traits et des voix.
Chaque création est une pièce de ma schizophrénie artistique assumée.

Lily de Florville

Je suis une architecte d’intérieur
devenue artiste schizophrène
à force de vouloir tenir debout
malgré un monde qui vacille.

Élevée par une mère seule,
forte et exigeante, j’ai appris très tôt
que la survie passait par la maîtrise
— des mots, des espaces, des émotions.
Mais derrière cette maîtrise,
il y avait une faille.
Et dans cette faille est née Simône
— ma voix saboteuse, ma jumelle intérieure, mon miroir grimaçant.

J’ai passé près de vingt ans à concevoir
des espaces de travail pour les autres,
avant d’apprendre à construire les miens :
des espaces mentaux, poétiques, politiques.
Je dessine ce que je ne peux pas dire,
je parle de ce que j’aurais voulu taire,
je transforme le doute en matière créative.

Mes illustrations, mes chansons et mes textes
sont des fragments d’émancipation.
J’y parle d’identité, de feu intérieur, de peur de briller,
de ce qui m’entrave et de ce qui me libère.

Sous le vernis de la rigueur,
je suis une femme en pleine réconciliation avec elle-même
— noire, neuroatypique, hyperactive
et enfin capable d’assumer toutes ces couches, sans en effacer aucune.

Je ne cherche plus la perfection, je cherche la justesse.

Et dans chaque trait, chaque mot, chaque espace,
il reste cette phrase que je porte comme une conviction :

n’est pas un pseudonyme,

c’est ma mue

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